Goyave
Goyave

Très consommée dans les territoires d’Outre-Mer, la goyave se démocratise peu à peu en Métropole. Ce petit fruit tropical largement répandu dans les Caraïbes, en Amérique latine et plus généralement dans les pays tropicaux, apporte une note d’exotisme dans le paysage gastronomique français. Sa peau fine et délicate renferme une chair rosâtre légèrement granuleuse clairsemée de pépins comestibles.

La goyave se retrouve toute l’année sur les étals de marché mais l’hiver reste la période optimale de consommation. On se la procure dans les épiceries africaines ou antillaises mais les marchés et les supermarchés en proposent de plus en plus. La choisir avec une peau lisse et souple mais sans meurtrissures. On trouve aussi du jus de goyave et de la purée de goyave surgelée.

Il suffit de laver la goyave et de la manger telle quelle, ses pépins étant comestibles. La peler au besoin.

La goyave se décline en gelée et en confiture pour garnir gâteaux et cakes, en coulis sur des tartes aux pommes ou sur des panacottas, ou en jus mélangée à d’autres fruits exotiques comme la mangue par exemple. On peut également réaliser des mousses ou des crèmes brûlées à la goyave.

Il est préférable de conserver la goyave à température ambiante jusqu’à son mûrissement plutôt qu’au réfrigérateur où elle ne se conservera que peu de temps.

La goyave est d’une extraordinaire richesse en vitamine C et en fibres douces, la pectine de ses pépins. Elle contient aussi beaucoup de carotènes et de flavonoïdes antioxydants et pas mal de sels minéraux et de vitamines du groupe B, surtout des folates (vitamine B9). Elle ne peut d’être bénéfique pour la santé.

En France, seul deux variétés sont présentes sur le marché : la pomifera, goyave en forme de pomme à la chair rose saumon et la pirifera, goyave en forme de poire à la chair rose, jaune ou blanche. Goyave pomifera Goyave pirifera

Les recettes